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  • : Les aventures érotiques de Sir Orso : un libertin parisien raconte
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20 juillet 2006 4 20 /07 /juillet /2006 12:51
 
Le jour dit il faisait un temps superbe et la température était plus celle d’un mois de septembre que d’un mois de janvier. Seules l’absence de feuilles sur les branches des arbres confirmait que nous étions en hiver.
 
Je téléphonais à Damien pour qu’il vienne me retrouver à l’entrée de la résidence laissant ainsi à Marie le temps de se préparer.
Damien lança un regard surpris à mon sac. Je crois qu’il ne s’attendait pas à ce qu’il fût si grand ! Pourtant il le fallait pour contenir la longue cravache que j’avais achetée quelques jours auparavant en prévision de cette journée. Le sac contenait également plusieurs corsets car Marie avait émis, lors d’une de nos rencontres, le souhait d’en essayer. J’avais fais un choix parmi ma collection et sélectionné ceux qui étaient le plus susceptible de lui convenir.
 
Nous prîmes l’ascenseur jusqu’au cinquième étage et Damien ouvrit la porte de l’appartement qui lui avait été prêté. C’était un deux pièces avec de larges baies vitrées permettant d’apercevoir la Seine au loin. Le soleil de janvier pénétrait à flots dans l’appartement. Je posais mon sac dans un coin de l’entrée et pendant que je me changeais dans le salon Damien alla rejoindre Marie qui attendait dans la chambre.
 
Je troquais mon costume contre un pantalon en cuir noir et un tee-shirt noir frappé d’une étoile rouge. J’avais enfilé une paire de chaussures montantes également noires. Une fois prêt je rejoignis Damien pour découvrir Marie qui attendait sagement assise sur le lit uniquement vêtue du serre taille gris que je lui avais offert, d’un petit string, d’une paire de bas et de chaussures à talons.
 
Je la découvrais ainsi presque nue sans aucune transition alors que jusqu’à maintenant nos rapports avaient été assez formels. Il en ressortait une situation assez étrange, due en grande partie à cette brillante lumière qui ne lui permettait pas de profiter d’une pénombre complice pour s’abriter un peu. Cette pénombre que l’on associe habituellement aux jeux de domination et de soumission et qui nous était refusée ce jour là donnant à ces jeux une ambiance un peu en décalage avec mes expériences précédentes. Marie semblait également assez nerveuse, du moins c’est le souvenir que j’en ai gardé, aussi ai-je proposé à mes partenaires de commencer par quelques photos car je savais que Damien voulait conserver une trace de cette journée.
 
Nous sommes passé dans le salon où nous avons dégagé un espace le long d’un mur pour n’y laisser qu’un fauteuil recouvert d’un tissu rouge dans lequel Marie a pris place. Je fis quelques clichés de la compagne de Damien, lui demandant de se tourner, de se mettre à genoux, de se pencher en avant pour faire saillir ses fesses etc. Son corps mince avait conservé une allure juvénile et pas plus que son visage ne donnait une idée de son age réel.
 
Elle obéissait docilement à mes ordres. Au bout de quelques clichés Damien sembla trouver que mon modèle était encore trop vêtue et lui ordonna d’ôter son string. Marie s’exécuta. Elle était intégralement épilée conformément aux goûts de Damien, ses grandes lèvres, naturellement longues, me donnaient furieusement envie de les étirer encore.
 
Pour ajouter un peu de mise en scène à mes photos je m’emparais de la cravache qui dépassait de mon sac et demandais à Damien d’écarter les fesses de Marie à l’aide de cet instrument pendant que je me concentrais sur mon appareil photo… Damien se saisit de la cravache et ordonna à Marie de s’agenouiller sur le fauteuil.
 
Il décida de se servir tout d’abord de la cravache pour caresser le sexe de sa compagne. Il frottait sans ménagement les chairs sensibles alternativement avec le manche et avec l’extrémité de cuir. Au bout de quelques minutes de ce traitement, abandonnant la cravache, il s’approcha d’elle et posa la main sur le sexe de Marie qui eut un frémissement. Il enfonça deux doigts dans son vagin puis me fit signe de le rejoindre. Il m’invita du geste à vérifier à mon tour combien Marie était trempée. Elle était en effet déjà très excitée. Je me retirais et Damien décida de la masturber vigoureusement ce qui eut pour effet quasi immédiat de provoquer des soubresauts dans le corps de notre modèle.
 
Damien alternait maintenant caresses manuelles et petites claques de plus en plus appuyés sur les fesses offertes. La peau de Marie commençait à marquer et ses gémissements devenaient de plus en plus sonores accompagnant tous les changements de rythme de Damien. Marie se cambrait à chaque fois davantage offrant ses fesses à la morsure du cuir. Lorsqu’il jugeait qu’elle avait assez goûté de la cravache Damien s’approchait d’elle et caressait son sexe. Aux reflets de la lumière sur ses doigts quand il les retirait je me rendais compte combien Marie ruisselait. Lors d’une conversation Damien l’avait qualifiée de femme fontaine et je pensais alors qu’il ne s’était pas trompé. La cravache a succédé aux caresses jusqu’au moment où je décidai de corser un peu le jeu. Je m’emparais d’un gode et d’un tube de lubrifiant que j’avais apporté et, après avoir lubrifié le plug, je le fis pénétrer doucement, presque avec tendresse, dans l’anus de Marie. Ce plug spécialement étudié est censé ne pas être rejeté par la soumise à qui on l’impose. Cependant le conserver alors que l’on a les fesses exhibées et fessées tient de l’exploit. Exploit d’autant plus délicat que j’avais choisi une taille assez raisonnable susceptible d’être bien tolérée par une personne peu habituée. Cependant Marie semblait avoir une longue habitude de la sodomie et aurait peut être préféré un calibre plus conséquent. Nous imposâmes donc à Marie de conserver le plug dans ses fesses aussi longtemps que durerait le jeu. Autant vous le dire tout de suite elle n’y parvint pas. Elle ne put contrôler ses convulsions et éjecta le petit gode que nous lui avions inséré dans l’anus pendant que Damien masturbait son clitoris et faisait aller et venir le gode vaginal. Je ramassais le plug tombé sur le tapis et le remis en place non sans l’avoir montré à Damien.
 
Ayant constaté l’échec de Marie lors de l’épreuve mon acolyte décida de lui imposer cinq vrais coups de cravache qu’elle dut compter à haute voix. Lors du cinquième coup le « cinq » qu’elle prononça se transforma en gémissement preuve que les coups avaient été réellement portés. Ses fesses d’ailleurs en portaient une trace indéniable.
 
Ayant décidé qu’elle avait assez souffert Damien fit lever Marie et décida qu’il était temps qu’elle essaie l’un des corsets que j’avais apporté. Nous avons commencé par un corset rouge prenant la taille et les seins. Je lui ôtais donc son serre-taille gris pour le remplacer par le corset. Je lui demandais de tenir ses bas que je comptais fixer aux jarretelles dont ce corset était équipé. Je fermais le busc sur le devant, raccrochais les bas puis serrais progressivement le lien dans le dos. Je fis un premier serrage pour voir si elle supporterait d’avoir la taille un peu prise. Cela ne sembla pas lui poser de problème et je serrais donc un peu plus encore. Je nouais les liens puis m’écartais pour juger de l’effet. Le corset était peut être un peu grand pour elle mais il lui allait fort bien. Pour ajouter un peu de piquant nous décidâmes de lui bander les yeux à l’aide d’un bandeau noir que j’avais apporté avec moi.
 
Nous la fîmes tourner sur elle même pour l’admirer et Damien ordonna à Marie de s’agenouiller pour me remercier pour lui avoir apporté un si joli corset. Il amena son visage à hauteur de la braguette de mon pantalon jusqu’à ce qu’il touche le tissu. Marie, comprenant parfaitement ce que son maître attendait d’elle, fit glisser à tâtons ses mains le long de mes jambes, trouva la braguette et libéra mon sexe qu’elle prit doucement entre ses lèvres. Elle entama une lente fellation, elle à genoux et moi debout. Je la laissais faire un petit moment dans cette position jouant un peu avec elle, sortant mon sexe de sa bouche pour le promener sur son visage puis, l’amenant avec moi, je m’assis dans le fauteuil rouge dans lequel elle avait été cravachée quelques minutes plus tôt. Cette position lui permettait de m’engloutir presque entièrement et je ne me privais pas pour pousser mon sexe au fond de sa gorge.
 
La fellation était délicieuse mais je ne voulais pas jouir dans la bouche de Marie. Je la repoussais doucement pour pouvoir quitter mon siège, la relevais également et l’agenouillais dans la même position que ce lorsqu’elle avait reçu la cravache. Je caressais son sexe rasé et son clitoris qui avait conservé la taille d’un grain de grenade. Damien me regardait faire d’un air intéressé. Sans cesser mes caresses je m’emparais d’un préservatif que j’enfilais sur mon sexe dressé. Marie donnait des signes de plaisir de plus en plus manifestes et elle jouit sous mes caresse en lâchant un petit jet de liquide qui s’étala en une petite flaque ronde sur l’assise du fauteuil. Je la pénétrais alors sans préparation et elle m’accueillit avec un gémissement. Je fis quelques allées et venues dans son sexe puis sans plus de préparation je me retirai, posai mon gland sur l’anus de Marie et m’enfonçai sans lui laisser le temps de protester, non que je ne lui en eusse laissé le droit d’ailleurs.
 
Son cul était accueillant et je glissais sans problème en elle. Elle râlait doucement sous mes coups de butoir et n’y tenant plus je me laissais aller entre ses fesses. Me sentant jouir elle serra son anus pour me retenir et m’extirper jusqu’à la dernière goutte de mon plaisir.
 
Je me retirai finalement et allait faire une petite toilette.
 
Quand je revins Damien avait ôté le bandeau qui aveuglait Marie et lui désignait la tache sombre qui maculait le fauteuil.
-         C’est la deuxième fois aujourd’hui que tu t’oublies lui dit il doucement, faisant sans doute allusion a une jouissance antérieure à mon arrivée
-         Je ferai plus attention la prochaine fois
-         Mais tu mérites une punition et sévère qui plus est. Tu vas avoir droit aux pinces.
-         Ho non pas ça, souffla-t-elle avec une lueur de panique dans ses yeux bleus.
 
Damien lui immobilisa les mains dans le dos à l’aide de bracelets de cuir trouvés dans mon sac. Ces bracelets, munis de mousquetons, s’attachent très facilement l’un à l’autre et immobilisent sans blesser les chairs. Je me plaçais devant elle et relevais son visage vers moi pendant que Damien sortait d’un sac des pinces à linge en bois identiques à celles qu’utilisait ma grand mère pour étendre son linge. Un modèle classique, robuste et, je le savais pour m’en être souvent servi enfant, pinçant très fort les chairs.
 
-         Ainsi tu as peur des pinces, tu as peur d’avoir mal ? lui dis je, mais ce n’est rien, regarde !
 
J’ouvris alors ma chemise et demandant à Damien une pince à linge je la plaçais sur l’un de mes tétons sans aucune précaution. Marie écarquilla les yeux de surprise devant mon absence de réaction quand les mâchoires de bois pincèrent la chair. Il est vrai que je suis particulièrement dur à certains type de douleur et particulièrement à celle là. La cire brûlante me laisse n’est également pas une grande torture.
 
Alors que Marie avait les yeux fixé sur ma poitrine Damien lui banda à nouveau les yeux. Il posa ensuite une ou deux banderille sur chaque sein, autour des tétons, arrachant à Marie grimaces et gémissement de douleurs à chaque fois que les pinces saisissaient un morceau de peau. Nul besoin de la transformer en hérisson pour la voir se tordre de douleur et supplier qu’on les lui enlève. Au lieu de céder nous en avons au contraire ajouter dans le domaine de la mise en scène. Ayant été fouiller dans la cuisine et dans mon sac je suis revenu avec des glaçons et une courte chaîne métallique dont les extrémités se terminent par des mâchoires garnies de petits piquants de plastique dur. Je fis saillir les tétons en les frottant avec un des glaçons et une fois bien durs je plaçais délicatement les mâchoires en face des bouts rose vif et relâchais doucement la pression pour que le serrage soit progressif. Bien que légèrement anesthésiés par le froid je savais que la morsure du plastique sur les chairs fragiles allait être intense. Lorsque je lâchais le tout le poids de la chaîne entraîna les tétons vers le bas. Tout le corps de Marie sembla alors s’affaisser comme pour suivre le mouvement imprimé par la chaîne. Lorsque je m’emparais des maillons pour lui indiquer qu’elle devait se redresser je vis que ces yeux étaient embués de larmes. Je tirais doucement jusqu’à ce que son buste soit à nouveau droit puis lâchais à nouveau en lui donnant l’ordre de rester bien en place. Tout cela n’avait pas duré une minute mais je sentais presque la douleur irradier en cercles concentriques à partir des tétons. Il faut que je précise que je possède ces pinces depuis de nombreuses années et que je connais parfaitement leur capacité de nuisance ! Je me suis adressé à Marie :
 
-         Je vais les enlever et peut être que cela va être encore pire quand le sang va recommencer à circuler.
 
Je retirais les deux pinces d’un même mouvement arrachant une grimace de douleur à Marie. Les pics avaient laissé leur marque sur les tétons et même si elle avait l’air soulagée je savais que la douleur mordante ne quitterait totalement Marie que bien des minutes plus tard.
 
Les pinces toujours à la main je fis relever Marie et m’agenouillais à mon tour pour placer la chaîne entre les jambes de notre soumise. Quand je le redressais les pinces serraient la peau du sexe épilé de Marie et cette souffrance là semblait lui être bien plus supportable. Je décidais donc d’ajouter un peu de poids à celui des maillons. N’ayant rien avec moi pouvant remplir cet office je me tournais vers la bibliothèque et regardais parmi les livres ou les bibelots ce qui pouvaient être utilisé. Sur la dernière étagère j’avisais une jaquette dont le logo ne m’était pas inconnu. Il s’agissait assurément d’un roman érotique. Attrapant l’ouvrage je découvris la couverture avec un sourire : une jolie jeune femme costumée en nonne ne laissait rien ignorer de ses charmes. Photographie appropriée. De taille me semble-t-il. Je pris un autre livre à peu près du même format à côté du premier, j’ai oublié le titre de celui là. J’ordonnais à Marie d’écarter les jambes et plaçais les deux livres en équilibre sur la chaîne la photo de la nonne sur le dessus, pile sous le sexe de Marie. Je repris l’appareil photo pour immortaliser la scène. Marie avait ordre de ne pas bouger pour ne pas rompre le fragile équilibre sous peine de punition. Nous lui fîmes conserver la pause un petit moment mais rien ne tomba dois je dire presque à regret. Mais les photos sont bonnes. Ceci compensant cela.
 
Nous libérâmes Marie de ses pinces mais pas de ses bracelets. Je sentais Damien un peu mécontent de la prestation de Marie avec les pinces. Mais peut être était ce là un jeu ? Il la fit s’agenouiller et sans la prévenir cingla ses fesses et les épaules avec un martinet. Damien sanctionnait ainsi l’attitude de Marie devant les pinces. Mais peut être avait il compris que Marie avait assez souffert pour cette matinée car il n’insista pas trop. Juste quelques minutes de façon à obtenir une rougeur uniforme. Posant le martinet aussi vite qu’il l’avait saisi, Damien attrapa Marie par les cheveux et la fit avancer à quatre pattes jusqu’au fauteuil dans lequel il la fit monter, à genoux, les mains toujours attacher dans le dos. Ainsi positionnée il n’y avait guère d’ambiguïté quant à la suite des évènements. Damien se plaçant devant elle, présenta à hauteur de ses lèvres son sexe que Marie suça avec empressement. Je ne me souviens plus si Damien a joui dans sa bouche ou s’il a encore préféré patienter.
 
Quand Damien se retira il remplaça son sexe par une cravache qu’il demanda à Marie de tenir dans sa bouche pendant quelques minutes. Je sentis à ce moment là la fatigue poindre dans l’attitude de Marie qui se tenait moins droite et moins résolue.
 
Je sentais que nous avions besoin d’une pause car sinon nous allions commencer à réciter comme un catalogue des perversions. A mon instigation nous nous sommes donc interrompus pour aller déjeuner. Je sentais cependant que Damien était déçu et aurait préféré que le jeu se poursuive sans pause mais par expérience je savais combien et le plaisir physique et les demandes de soumission pouvaient être épuisante pour une soumise, surtout peu expérimentée comme Marie. Et malgré le risque de casser l’ambiance je pensais qu’il était préférable pour Marie de souffler un peu sous peine de la voir s’effondrer.
 
Marie s’est habillée, c’est à dire qu’elle a passé une jupe et une veste sur son corps nu, et je me suis changé, quittant mon habit de cuir pour le classique costume que je portais à mon arrivée. Damien s’est rhabillé et nous sommes parti à la recherche d’un endroit où nous restaurer.
 
Il y avait là quelque chose de surréaliste dans cette coupure durant laquelle, dans le petit restaurant de quartier dans lequel nous avons mangé, nous avons chacun repris nos rôles de cadres bon chic bon genre. Peut être notre conversation a t’elle malgré tout surpris nos voisins de table bien que nous évoquions à mots couverts les expériences que Damien et Marie vivaient de leur côté.
 
Cette pause nous fit semble t’il le plus grand bien et nous avons rejoint l’appartement de bonne humeur. Marie plaisantant durant le trajet comme s’il ne s’était rien passé de la matinée.
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