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  • : Les aventures érotiques de Sir Orso : un libertin parisien raconte
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26 mai 2006 5 26 /05 /mai /2006 10:39
Elle me demanda de me remettre sur le ventre. Je m’exécutais.
Ses seins s’écrasèrent sur mon dos maintenant bien huilé. Elle entama un lent mouvement de rotation en commençant par mes épaules et en descendant doucement vers les fesses qu’elle écarta doucement pour promener les tétons durcis sur les parties la face interne des globes et des cuisses. Mes frissons s’accentuaient en même temps que ses tétons s’érigeaient.
 
Soudain je sentis sa main se faufiler entre mes jambes et ses doigts caresser les parties de peau sensible que ses seins ne pouvaient atteindre. Je sentis mon sexe commencer à durcir tandis que ses doigts agaçaient cet emplacement si sensible à la jonction des cuisses et des testicules. Pour prolonger la caresse je soulevais mes fesses l’invitant à glisser ses doigts jusqu’à mes couilles. Je fus récompensé par un effleurement très doux et une pesée plus franche encore de ses seins sur mes fesses.
 
Cette partie du massage prit fin aussi soudainement qu’elle avait commencée.
Plus de poids sur mes fesses, plus de main sur mon sexe.
Il était temps de me retourner.
Je levais la tête des oreillers dans lesquels je l’avais enfouie et lui lançais un regard interrogateur.
 
D’un mouvement de main accompagné d’un sourire elle m’indiqua qu’en effet je devais me retourner. Je le fis doucement, sans me presser.
 
Elle reprit son massage en commençant cette fois ci par les chevilles et les pieds. Elle n’avait pas repris d’huile et me massait du bout de doigts.
Comme j’étais enfin sur le dos, un peu remonté sur les oreillers je ne perdais pas une miette du spectacle malgré l’absence de miroirs.
Je la vis donc parfaitement s’accroupir à mes pieds, avancer son visage au-dessus de mes pieds et goulûment avaler un à un mes orteils.
C’était une sensation proprement incroyable. Elle s’occupait de mes doigts comme autant de sexes.
 
Inutile de dire combien ce traitement m’a rendu fou.
La raideur de mon sexe en témoignait.
 
Doucement elle se releva et m’enfourcha tout en continuant le massage de mes jambes.
Ses tétons étaient encore bien érigés.
 
Ses mains remontaient maintenant le long de mon ventre sans pourtant s’approcher de mon sexe. Elle frôlait mon ventre, mes flancs du bout de doigts puis soudainement accentuait la pression pour la relâcher aussitôt. Je frissonnais sans cesse. Et son sourire s’élargissait à chacun de mes sursauts.
 
Comme elle l’avait fait pour mes pieds elle approcha sa bouche de mes mains puis goba un à un tous les doigts de ma main gauche tout en me regardant droit dans les yeux. Je sentis mon sexe grossir encore.
Elle fit durer autant que possible le va et vient de sa bouche sur mon index pour finalement lui permettre de sortir très lentement de sa bouche. Une pure provocation car mon sexe attendait toujours la caresse de sa bouche.
 
Elle avait décidé de me faire languir.
Sa poitrine remplaça sa bouche comme instrument de torture. Elle fit lentement courir ses seins sur mes cuisses en prenant toujours soin d’éviter ma queue dressée. Elle plaça une jambe entre les miennes et se pencha vers moi en frottant doucement la dentelle de la culotte sur ma cuisse.
 
-         Tu n’enlèves pas ton string ? Lui demandais-je ?
-         Tiens, tu me tutoies maintenant ? Répondit elle en riant. C’est incroyable que ce les hommes peuvent être timides, reprit-elle, on dirait qu’ils ne veulent pas toucher ce qui est à eux. Enlève la moi si tu veux, me provoqua-t-elle.
 
Je la relevais un peu et fis glisser mes doigts sous les élastiques du string. Je caressais délicatement la peau douce et soigneusement épilée arrachant à mon tour des frissons à Isabelle. Je tirais doucement la dentelle et au prix de quelques contorsions Isabelle me rejoignit dans ma nudité.
 
Son sexe était épilé quasi intégralement à l’exception d’une mince bande sur le pubis. Je caressais ses fesses et glissais mes doigts délicatement entre les deux globes jusqu’à son sexe que je trouvais déjà très humide. A ma grande surprise je l’avoue. En fait j’avais l’impression d’être plus avec une maîtresse qu’avec une professionnelle du sexe. En tout cas à part le plaisir qu’elle prenait à me faire attendre et qu’une amante n’aurait peut être pas laissé durer aussi longtemps je ne voyais pas la différence. D’autant que je n’avais encore rien payé… A la réflexion et pour avoir évoqué par la suite avec elle la question de son plaisir, je pense que cette situation inédite où une connaissance de son autre vie lui demandait de traverser le miroir devait l’exciter autant que moi. Car en plus du sexe s’y ajoutait un petit côté sulfureux qui ne devait pas lui déplaire.
 
Je la caressais donc légèrement pour apprendre à me familiariser un peu avec ce sexe presque adolescent par sa taille et sa douceur.
 
Elle profita de mon inquisition pour se pencher un peu plus su ma poitrine et me mordiller un téton et alors que je ne suis pas, en général, très porté sur ces caresses, je réagis instantanément. Je la laissais faire la soutenant d’une main sous le ventre tandis que l’autre fouillait son sexe de plus en plus ruisselant.
 
J’avais atteint cet état où l’érection est synonyme de douleur et où malgré mon excitation je ne pouvais bander d’avantage.
 
Emporté par mon élan mes deux mains quittèrent son corps pour attraper son visage que j’amenais au contact du mien. Nos lèvres se joignirent et nous échangeâmes un long baiser au goût de cigarettes et d’alcool. Je caressais ses longs cheveux bouclés et serrais son corps contre le mien comme avec n’importe quelle autre femme. Isabelle faisait voler en éclats pas mal d’images d’Epinal sur les courtisanes.
 
Nous avons rompu notre baiser et Isabelle s’est doucement relevé sur les coudes pour incliner son visage vers mon torse. Elle reprit ses mordillements là où notre baiser les avaient interrompus puis doucement sa bouche descendit vers mon sexe, sa langue s’attardant temporairement sur une partie de mon anatomie. Elle finit par atteindre mon sexe érigé à qui elle donna quelques coups de langue. Elle embrassa le gland puis continua sa descente vers mes couilles en suivant du bout de la langue la grosse veine bleue qui pulsait sous l’afflux de sang.
 
Quittant sa position à califourchon elle se plaça plus confortablement entre mes jambes et tout en empoignant enfin mon sexe elle goba une de mes couilles et la suça doucement. Dans le même temps sa main faisait connaissance avec mon sexe dont elle évaluait la taille et la fermeté comme je l’avais fait avec son sexe pour en apprécier la douceur et la moiteur.
 
Quand elle se redressa, je sus que mon sexe allait changer d’interlocuteur. D’embrassé il se retrouva gobé à son tour par une bouche experte. Je m’emparais de sa nuque et de ses cheveux au cas bien improbable où j’aurai dû la guider. Sa main avait remplacé sa bouche autour de mes couilles et elle allait et venait en un lent mouvement dans lequel j’avais l’impression d’être aspiré encore plus à chaque va et vient de ses lèvres et de sa langue. Elle avait en particulier parfaitement identifié le point le plus sensible chez moi qui se situe juste sous le gland à la jonction du frein. Peut être seules deux filles m’avaient à ce jour sucé aussi bien. Je sentais mon plaisir monter par vagues et Isabelle également car elle relâcha un peu la pression tout en continuant à me sucer doucement. Elle avait le désir de me faire durer…
 
Craignant malgré tout de ne pas résister à ses caresses, je relevais son visage. Elle planta son regard pailleté de vert et d’or dans le mien et, un peu haletante elle me souffla :
 
-         Je ne te laisserai pas jouir dans ma bouche, c’est ma seule limite
-         Il faut bien quelques règles, tout de même, lui répondis-je m’abstenant sans malice de lui demander quelles étaient les autres règles.
 
Isabelle n’était pas bien lourde entre mes bras et je la retournais sans mal pour la mettre sur le dos. Ce fut alors mon tour de me placer entre ses jambes et de sucer son sexe. Au risque de me répéter elle avait un sexe de jeune fille, peu ouvert, aux lèvres fines et de couleur rose tendre. Son clitoris était de la taille d’une perle et bien protégé dans son petit cocon de chair. Je le titillais d’abord légèrement puis de façon un peu plus appuyée déclenchant à mon tour chez ma partenaire les réactions qu’elle avait suscitées chez moi. J’alternais les moments forts et faibles mais j’avais le sentiment que même si elle appréciait mes caresses ce n’était pas ce qu’elle préférait.
 
Je la voulais cependant ruisselante et ne consentis à l’abandonner qu’une fois que son sexe eut été bien trempé.
 
Comme je relevais mon visage elle s’empara de ma tête et cette fois elle prit l’initiative du baiser. Il fut plus sexuel que le précédent nos deux bouches mêlant ainsi le goût de nos deux sexes. Nous avons roulé sur le lit et elle s’est à nouveau trouvée au-dessus de moi.
 
Pendant que nous nous embrassions Isabelle avait attrapé la boite de préservatifs qu’elle avait placée aux cotés du lit.
 
Je la sentais un peu fébrile, ne parvenant pas à trouver l’ouverture de l’emballage d’aluminium. Je pris donc les choses en main. Elle se recula un peu pour me permettre d’enfiler le préservatif. Lorsque ce fut fait, je l’empoignai par les hanches, la plaçai au-dessus de mon sexe dressé et d’une seule poussée la pénétrai jusqu’au fond lui arrachant un sursaut de surprise quand je cognai le fond de son intimité. A demi-dressé sur les coudes je menais la cadence tout en mordillant ses tétons. Mais comme la position étant assez fatigante, je l’abandonnais bien vite pour plaquer Isabelle contre moi, poitrine contre poitrine, me permettant ainsi de jouer avec ses fesses de mes deux mains libérées.
 
J’allais et venais lentement, non pas par crainte de l’éjaculation, j’étais trop tendu pour jouir vite je le savais, mais comme pour l’explorer à fond. Même si elle était placée au-dessus de moi c’était moi qui menais les débats en essayant le repousser chaque fois un peu plus les limites de la pénétration. La forme et la dimension de son sexe me faisaient de plus en plus penser à celui d’une adolescente qu’à celui d’une femme de trente ans. Il me contenait tout juste dans cette position et son étroitesse était un délice.
 

Au bout de quelques minutes je me détachai d’elle et glissai sous son ventre embrassant au passage son nombril et son sexe où se mélangeaient les odeurs de sexe et de latex. Je passai derrière elle et, ainsi en levrette, elle m’offrait une vue superbe sur ses fesses. Elle était totalement impudique et offerte. Isabelle avait la tête posée sur ses bras croisés, légèrement tournée vers moi, les yeux mi-clos.

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