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  • : Les aventures érotiques de Sir Orso : un libertin parisien raconte
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16 juin 2006 5 16 /06 /juin /2006 13:29

Une nuit à Strasbourg où je vivais à l'époque.....

Ceux qui connaissent la ville reconnaitront sans doute les lieux dont je parle

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16 juin 2006 5 16 /06 /juin /2006 13:27
Auto-stop
 
La première fois que j'ai rencontré Carmen c'était par une glaciale nuit de mars.
 
L'hiver ne semblait pas vouloir finir et à la sortie du cinéma j'avais raccompagné en voiture la bonne âme qui avait consenti à me tenir compagnie. La rue dans laquelle elle vivait étant en sens unique, je me voyais obligé, pour rentrer chez moi, de faire un crochet par une grande avenue qui servait de point de rencontre aux prostituées, professionnelles ou occasionnelles, et aux clients venant des deux côtés de la frontière.
 
J'allais m'arrêter à un feu rouge lorsque sur ma droite je vis une jeune fille vêtue de noir en train de faire du stop à un arrêt de bus. Sans prendre la peine de réfléchir, je stoppais à sa hauteur pensant qu'à cette heure tardive elle avait raté le bus qui la conduirait dans un autre quartier de la ville. Comme je baissais ma vitre, je lui demandais où elle souhaitait aller, elle me demanda si je pouvais la conduire dans une petite ville que je connaissais mais se trouvant à une trentaine de kilomètres de là. Ma première réaction fut de faire la grimace car connaissant la ville en question la ballade prendrait facilement près d'une heure. Elle a du sentir que j'allais la laisser tenter sa chance avec un autre lorsqu'elle me dit que l'on pouvait s'arranger. Cette répartie me fit sourire et sans lui demander plus de détails sur le contenu de l'arrangement en question, je lui fis signe de monter à ma droite.
 
A cette heure de la nuit, il était pas loin de minuit, la circulation était fluide et nous sortîmes de la ville sans encombre. Comme je me rendais compte qu'à la suite de cette expédition j'allais me coucher très tard, j'attrapais tout de suite la rocade nord et accélérais pour rejoindre au plus vite ma destination. J'allais prendre une bretelle pour bifurquer sur une voie rapide que j'empruntais habituellement pour me rendre dans cette ville où mon travail m'avait parfois conduit mais ma passagère m'arrêta. Elle m'expliqua alors qu'il existait un chemin plus rapide qui nous faisait arriver tout à côté de chez elle. Comme nous avions peu parlé au cours de premiers kilomètres, ce changement de route lui permit d'engager la conversation. Elle me demanda comment je connaissais la ville où nous allions, si je travaillais, si j'étais de la région même si à ce sujet mon accent ne devait guère laisser de doute sur mon origine étrangère...
 
Je lui répondais par des phrases assez courtes sans détailler mes activités. Je lui expliquais que je vivais dans la région depuis deux ans pour mon travail mais que j'étais originaire du sud. Elle m'expliqua qu'elle n'était pas non plus de la région mais qu'elle avait du suivre ses parents qui étaient venus s'installer dans la région suite à une mutation. Elle m'expliqua également qu'après un diplôme d'aide soignante elle avait entrepris des études d'infirmière. Son histoire se tenait mais tout comme son prénom, Carmen, l'histoire sentait le toc.
 
Je pensais plutôt à une junkie qui faisait le tapin de temps en temps pour se payer sa dose mais son allure n'était pas celle d'une droguée. Elle ressemblait plutôt à ce qu'elle disait être : une étudiante ou une chômeuse en manque d'argent qui arrondissait ses fins de mois sur le trottoir. Elle me donna elle même une clef de l'énigme en me racontant qu'elle faisait du stop car elle avait eu un accident avec sa voiture et qu'elle rageait d'autant plus qu'elle n'avait encore terminé de la payer au "copain" qui la lui avait vendue.
 
Au lieu du long ruban quasi rectiligne de la voie rapide, nous avons rapidement traversé les petits villages endormis pour arriver en vue de notre destination. J'avoue que la chaleur de la voiture et la conduite de nuit m'avaient un peu assoupi et je n'aspirais qu'à rentrer au plus vite me coucher. J'avais il est vrai oublié la promesse de ma passagère, ou plutôt j'avais un peu honte de la lui rappeler. Ce fut elle qui me demanda si je voulais bien m'arrêter quelques minutes à l'entrée de la ville. Elle m'expliqua qu'il y avait là une carrière dont la route d'accès servait de repaire aux amoureux. En ce soir de semaine selon elle nous ne risquions pas d'être dérangés. Sur ses indications, je stoppais donc la voiture derrière un bosquet après m'être assurés que nous étions invisibles de la route.
 
Carmen me demanda si une gâterie me conviendrait. Je lui répondis que cela me convenait tout à fait si elle avait un préservatif sur elle car moi, j'en étais dépourvu.
 
Elle dégrafa son chemisier, autant pour me permettre de caresser sa poitrine que pour éviter tout risque d'accroc avec ma ceinture et entreprit de m'emballer de latex pour me récompenser d'avoir pris la peine de la raccompagner. Elle me fit grossir lentement dans sa bouche, s'aidant de sa main gauche pour me maintenir et de sa main droite pour me caresser doucement les testicules. Elle officiait tout doucement, avec une tendresse que je ne m'attendais pas à trouver chez une fille qui avait du prodiguer les mêmes caresses à bon nombre de mâles.
 
Sa poitrine était douce et ferme, sa bouche très tendre mais très habile et, comme je n'avais en aucune façon à me soucier de son plaisir, je pris égoïstement le mien assez vite malgré mon envie de laisser durer la caresse le plus longtemps possible. Malgré mes soubresauts, Carmen me maintint dans bouche de longues secondes encore, comme le ferait une maîtresse à son amant.
 
Il fallait pourtant rompre le charme et me réajustant rapidement, j'entrepris de désembuer rapidement la voiture pour nous permettre de repartir. Je me contentais ensuite de lui demander les indications pour la ramener chez elle, sans évoquer le plaisir qu'elle venait de me donner. Je la laissais à l'angle d'une rue et la regardais entrer dans une petite maison basse d'un quartier ouvrier assez pauvre.
 
Je suis repassé plusieurs fois devant la maison de Carmen mais sans l'apercevoir. En revanche, je la revis une seconde fois en ville, elle n'était pas seule, mais ceci est une autre histoire.
 
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26 mai 2006 5 26 /05 /mai /2006 10:42

Une histoire un peu ancienne, 4 ans déjà, dans laquelle il est question d'une professionnelle.

Mais là encore il ne s'agit pas d'une banale rencontre suite à une petite annonce.

Plutôt de retrouvailles.

Jugez plutôt.

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26 mai 2006 5 26 /05 /mai /2006 10:41
Isabelle
Mars 2002
 
 
Mettons d’abord les choses au point.
Isabelle n’est pas son vrai prénom.
Quel est-il ?
Peu importe mais je le connais.
Comme je connais d’elle quelques petites choses qui me la rendent à la fois plus proche et plus mystérieuse.
 
J’ai rencontré Isabelle pour la première fois en septembre 2001.
Elle travaillait alors pour un grand cabinet d’avocats parisien dans lequel j’effectuais une mission.
Je n’ai jamais su exactement quel était son poste mais je sais qu’elle avait accès à pas mal d’informations sensibles qui rendaient sa position stratégique.
Je suppose que depuis elle continue d’être une sorte d’assistante de luxe dans de très grandes sociétés.
 
A cette époque Isabelle et moi avions pris quelques verres ensemble dans un petit café et nous avions longuement parlé de son goût pour la lingerie. Elle m’avait d’ailleurs fourni une splendide guêpière de couleur bronze, commandée aux USA, que j’ai offerte à ma compagne. Nous avions aussi évoqué son amour des talons hauts et nous avions flâné devant les vitrines d’un magasin d’une galerie des Champs Elysées qui présentait les créations délirantes d’une marque italienne.
 
Elle était même venue nous apporter la guêpière chez nous et j’avoue que j’avais espéré que la soirée ne dégénère en quelque chose d’un peu plus coquin. Malheureusement ce soir là ma femme était épuisée par une longue journée de réunion et n’aspirait qu’à se coucher tôt.
 
Après cette soirée et à la fin de ma mission, Isabelle m’avait laissé son mail professionnel. Nous avons correspondu quelques temps à un rythme irrégulier. Parfois nous échangions plusieurs messages par jours et parfois rien pendant une semaine.
 
Et puis un jour son mail est resté muet. Son compte a été supprimé peu de temps après et j’ai perdu sa trace. Pas complètement en fait car j’avais conservé son mail personnel ainsi que son numéro de portable mais je ne sais trop pourquoi je ne l’ai jamais contactée.
 
Quelques mois plus tard, Olivier dont j’ai déjà pas mal parlé et avec qui j’avais passé plusieurs soirées coquines, m’a adressé une liste de liens vers des sites qui, selon lui, devaient m’intéresser. Il y avait là quelques sites amateurs, des sites consacrés à la photo, des sites de modèles et de quelques demoiselles vendant ouvertement leurs charmes dans le relatif anonymat de la grande toile.
 
J’en ai visité certains, écartant ceux ouvertement commerciaux pour me consacrer à ceux hébergés gratuitement par les providers. Par expérience je savais que c’était en général ceux là qui présentaient les choses les plus intéressantes. Et bien sûr au milieu de la liste se trouvait celui de Isabelle…
 
J’ai dû faire une drôle de tête car je ne m’attendais pas à trouver celle que je connaissais sous une autre identité en train de proposer ses services de masseuse et d’escort-girl sur Internet. Vous vous demandez sans doutes comment j’ai pu la reconnaître ? C’est fort simple : contrairement à la plupart de ses consœurs elle n’avait pas masqué son visage et apparaissait en photo telle que je l’avais connue quelques mois plus tôt. Je savais qu’elle avait posé pour des photos, elle me l’avait dit à l’époque mais de là à s’exposer ainsi… De plus elle ne cachait pas son âge dans un métier où apparemment beaucoup de filles se rajeunissaient.
 
J’avoue avoir pas mal tergiversé. Que faire ? L’appeler ? Rester dans l’ombre ? J’ai hésité longtemps, je me suis renseigné sur elle et sur le milieu en surfant sur de nombreux sites consacrés aux escorts. Même si cela me paraissait assez évident en découvrant ses tarifs j’ai vite compris qu’elle faisait partie du gratin des escort-girls de luxe. Une soirée avec elle pouvait représenter le salaire mensuel que je recevais quelques années auparavant…
J’ai cependant fini par craquer.
 
Un vendredi soir où j’étais seul dans mon appartement en travaux j’ai appelé Isabelle sur son numéro « professionnel ». Il était aux environ de 19 heures. Elle a répondu tout de suite et nous avons entamé une bien étrange conversation.
 
-         Etes vous libre ce soir ?
-         Oui mais pour quelle prestation.
-         Je ne sais pas trop, j’hésite encore.
-         Voulez-vous que je vous rappelle mes tarifs ?
-         Non, ils sont sur le site, en fait pour être franc nous nous connaissons.
Silence
-         Ha bon et comment me connaissez-vous ?
Je lui cite alors le nom du cabinet d’avocat et son prénom.
-         Dites-m’en plus, je ne reconnais pas votre voix
-         Vous m’aviez fourni une guêpière dorée pour mon épouse
-         Pas dorée, répondit-elle moqueuse, bronze. Vous êtes M. X n’est ce pas ?
-         Oui tout à fait
 
Elle me demanda ensuite si j’étais réellement décidé à la rencontrer et si oui comment faire puisqu’elle connaissait l’existence de mon épouse.
Je lui dis que j’étais seul mais cela ne semblait pas lever ses réticences. Il fallut que je lui parle de nos expériences coquines pour qu’elle comprenne qu’en fait au-delà de la confiance que je pouvais lui accorder quant à sa discrétion elle pouvait m’accorder la même en retour. Et que si je l’avais trouvée très séduisante lors de notre première rencontre elle était maintenant l’incarnation d’une sorte de fantasme : celui de la prostituée de luxe.
 
Nous avons longuement discuté et au final elle m’a demandé ce qu’elle devait faire, venir ou pas. Je lui ai demandé de venir pour un massage et qu’après nous verrions.
 
Je lui ai donné l’adresse, le code d’accès de l’immeuble et elle m’a dit qu’elle serait là dans une heure et demi, le temps de manger et de se préparer.
 
Pour éviter de trop gamberger j’ai passé l’heure et demi-suivant à ranger un peu le chantier qu’était l’appartement, prendre une douche et laver la salle de bain.
 
Elle a sonné vers 22 heures.
Je l’ai attendue sur le pallier et elle est apparue presque inchangée par rapport à mes souvenirs. Elle portait un grand manteau blanc en lainage, un tailleur sombre et ce qui me semblait être un petit pull moulant. Elle était chaussée d’escarpins à talons aiguilles en cuir façon nubuck.
Elle portait deux grands sacs à l’effigie d’une célèbre marque de vêtements.
 
Je pris son manteau, lui fis visiter les quelques pièces en état et la conduisis vers le salon. Elle prit place dans le canapé tandis que je me posais dans mon vieux fauteuil club.
 
Pendant que j’allais chercher l’alcool qu’elle m’avait demandé et quelques friandises, elle avait sorti d’un des sacs une paire d’escarpins noirs aux talons délirants.
Elle me regarda en souriant :
-         Je me suis souvenu, tu vois !
-         J’aimerais autant que l’on continue à se vouvoyer comme avant lui dis-je.
-         Comme vous voudrez mais sachez qu’ils viennent de la boutique à côté des Champs, me répondit-elle en les enfilant.
 
Elle se mit debout pour faire admirer le galbe de sa jambe qui était, il faut bien l’avouer, à damner un saint.
 
-         Je ne peux pas marcher avec dans la rue, 13 centimètres de talon c’est un peu dangereux mais à l’intérieur cela prend une autre dimension n’est ce pas.
 
Je ne pouvais qu’acquiescer.
J’étais assez tendu et malgré le chauffage poussé à son maximum je n’arrivais pas à me réchauffer.
 
Isabelle faisait l’essentiel de la conversation en répondant aux quelques questions que je lui pose. En fait au moment où nous nous étions rencontrés, elle avait déjà mis un pied dans le monde de la prostitution mais n’en tirait que des revenus d’appoint. Elle avait conservé son statut de cadre pendant encore quelques temps puis depuis quelques semaines avait arrêté de travailler en entreprise.
 
Au bout de quelques temps et comme la conversation s’enlisait, elle me proposa de prendre une douche. Comme je lui répondis que j’en avais pris une en l’attendant, elle me proposa de passer dans la chambre pour qu’elle m’y masse ?
 
-         Avez-vous besoin de quelque chose ? Demandais-je, presque pour retarder l’échéance.
-         Non juste d’une ou deux grandes serviettes pour ne pas tâcher les draps avec l’huile.
 
Elle me montra alors le flacon dont elle s’était emparée : de l’huile sèche de chez Carita, de celle qui est utilisée dans les instituts de beauté de luxe.
 
Je défis rapidement le lit pour ne conserver que le matelas recouvert d’un drap et les oreillers. Je laissais deux petites lampes et quelques bougies allumées.
 
Elle me regardait m’affairer un petit sourire ironique aux lèvres.
-         Et maintenant tout nu me lança-t-elle d’un air espiègle
 
Si elle avait été assez réticente à venir me rejoindre du fait de nos anciennes relations professionnelles, elle semblait commencer à s’amuser franchement.
 
Je me pliais donc à son injonction et ma chemise, mon pantalon de cuir et mon caleçon atterrirent à mes pieds. J’étais nu devant elle quand elle commença à se dévêtir. Elle ôta sa veste et son petit pull sans manche pour découvrir une poitrine plus pleine que je ne l’avais supposé. Elle enleva sa jupe et se tint devant moi en bas noirs et ensemble de lingerie blanche et noire. Bien évidemment elle avait conservé ses escarpins aux talons vertigineux.
 
Elle me fit m’allonger sur le ventre et commença à s’occuper de moi dans cette tenue. Le premier contact avec ses mains me fit frissonner. Ce n’était pas le contact froid de l’huile car elle la réchauffait tout d’abord dans ses mains, mais peut être était ce le contact de ses deux mains inconnues qui, ajoutées à ma sensibilité naturelle, ne cessaient de me faire frissonner.
 
Elle commença par les épaules pendant un bref instant, peut être pour que je m’habitue à son contact, puis elle attaqua les jambes, cuisses et mollets. Isabelle riait maintenant ouvertement à chaque sursaut provoqué par ses caresses, en particulier dans le creux poplité. Elle jouait de ses doigts avec art et y prenait un plaisir évident. Elle continua ainsi un assez long moment. Tout d’un coup je ne sentis plus ses mains sur moi.
 
Je me retournais et la vis en train d’ôter son soutien gorge. Ses seins étaient ravissants. Pas très gros mais cependant plus que je ne me l’étais imaginé lors de nos premières rencontres. Les tétons étaient sombres et les aréoles plus larges que celles de ma compagne. Elle avait conservé son string.
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26 mai 2006 5 26 /05 /mai /2006 10:39
Elle me demanda de me remettre sur le ventre. Je m’exécutais.
Ses seins s’écrasèrent sur mon dos maintenant bien huilé. Elle entama un lent mouvement de rotation en commençant par mes épaules et en descendant doucement vers les fesses qu’elle écarta doucement pour promener les tétons durcis sur les parties la face interne des globes et des cuisses. Mes frissons s’accentuaient en même temps que ses tétons s’érigeaient.
 
Soudain je sentis sa main se faufiler entre mes jambes et ses doigts caresser les parties de peau sensible que ses seins ne pouvaient atteindre. Je sentis mon sexe commencer à durcir tandis que ses doigts agaçaient cet emplacement si sensible à la jonction des cuisses et des testicules. Pour prolonger la caresse je soulevais mes fesses l’invitant à glisser ses doigts jusqu’à mes couilles. Je fus récompensé par un effleurement très doux et une pesée plus franche encore de ses seins sur mes fesses.
 
Cette partie du massage prit fin aussi soudainement qu’elle avait commencée.
Plus de poids sur mes fesses, plus de main sur mon sexe.
Il était temps de me retourner.
Je levais la tête des oreillers dans lesquels je l’avais enfouie et lui lançais un regard interrogateur.
 
D’un mouvement de main accompagné d’un sourire elle m’indiqua qu’en effet je devais me retourner. Je le fis doucement, sans me presser.
 
Elle reprit son massage en commençant cette fois ci par les chevilles et les pieds. Elle n’avait pas repris d’huile et me massait du bout de doigts.
Comme j’étais enfin sur le dos, un peu remonté sur les oreillers je ne perdais pas une miette du spectacle malgré l’absence de miroirs.
Je la vis donc parfaitement s’accroupir à mes pieds, avancer son visage au-dessus de mes pieds et goulûment avaler un à un mes orteils.
C’était une sensation proprement incroyable. Elle s’occupait de mes doigts comme autant de sexes.
 
Inutile de dire combien ce traitement m’a rendu fou.
La raideur de mon sexe en témoignait.
 
Doucement elle se releva et m’enfourcha tout en continuant le massage de mes jambes.
Ses tétons étaient encore bien érigés.
 
Ses mains remontaient maintenant le long de mon ventre sans pourtant s’approcher de mon sexe. Elle frôlait mon ventre, mes flancs du bout de doigts puis soudainement accentuait la pression pour la relâcher aussitôt. Je frissonnais sans cesse. Et son sourire s’élargissait à chacun de mes sursauts.
 
Comme elle l’avait fait pour mes pieds elle approcha sa bouche de mes mains puis goba un à un tous les doigts de ma main gauche tout en me regardant droit dans les yeux. Je sentis mon sexe grossir encore.
Elle fit durer autant que possible le va et vient de sa bouche sur mon index pour finalement lui permettre de sortir très lentement de sa bouche. Une pure provocation car mon sexe attendait toujours la caresse de sa bouche.
 
Elle avait décidé de me faire languir.
Sa poitrine remplaça sa bouche comme instrument de torture. Elle fit lentement courir ses seins sur mes cuisses en prenant toujours soin d’éviter ma queue dressée. Elle plaça une jambe entre les miennes et se pencha vers moi en frottant doucement la dentelle de la culotte sur ma cuisse.
 
-         Tu n’enlèves pas ton string ? Lui demandais-je ?
-         Tiens, tu me tutoies maintenant ? Répondit elle en riant. C’est incroyable que ce les hommes peuvent être timides, reprit-elle, on dirait qu’ils ne veulent pas toucher ce qui est à eux. Enlève la moi si tu veux, me provoqua-t-elle.
 
Je la relevais un peu et fis glisser mes doigts sous les élastiques du string. Je caressais délicatement la peau douce et soigneusement épilée arrachant à mon tour des frissons à Isabelle. Je tirais doucement la dentelle et au prix de quelques contorsions Isabelle me rejoignit dans ma nudité.
 
Son sexe était épilé quasi intégralement à l’exception d’une mince bande sur le pubis. Je caressais ses fesses et glissais mes doigts délicatement entre les deux globes jusqu’à son sexe que je trouvais déjà très humide. A ma grande surprise je l’avoue. En fait j’avais l’impression d’être plus avec une maîtresse qu’avec une professionnelle du sexe. En tout cas à part le plaisir qu’elle prenait à me faire attendre et qu’une amante n’aurait peut être pas laissé durer aussi longtemps je ne voyais pas la différence. D’autant que je n’avais encore rien payé… A la réflexion et pour avoir évoqué par la suite avec elle la question de son plaisir, je pense que cette situation inédite où une connaissance de son autre vie lui demandait de traverser le miroir devait l’exciter autant que moi. Car en plus du sexe s’y ajoutait un petit côté sulfureux qui ne devait pas lui déplaire.
 
Je la caressais donc légèrement pour apprendre à me familiariser un peu avec ce sexe presque adolescent par sa taille et sa douceur.
 
Elle profita de mon inquisition pour se pencher un peu plus su ma poitrine et me mordiller un téton et alors que je ne suis pas, en général, très porté sur ces caresses, je réagis instantanément. Je la laissais faire la soutenant d’une main sous le ventre tandis que l’autre fouillait son sexe de plus en plus ruisselant.
 
J’avais atteint cet état où l’érection est synonyme de douleur et où malgré mon excitation je ne pouvais bander d’avantage.
 
Emporté par mon élan mes deux mains quittèrent son corps pour attraper son visage que j’amenais au contact du mien. Nos lèvres se joignirent et nous échangeâmes un long baiser au goût de cigarettes et d’alcool. Je caressais ses longs cheveux bouclés et serrais son corps contre le mien comme avec n’importe quelle autre femme. Isabelle faisait voler en éclats pas mal d’images d’Epinal sur les courtisanes.
 
Nous avons rompu notre baiser et Isabelle s’est doucement relevé sur les coudes pour incliner son visage vers mon torse. Elle reprit ses mordillements là où notre baiser les avaient interrompus puis doucement sa bouche descendit vers mon sexe, sa langue s’attardant temporairement sur une partie de mon anatomie. Elle finit par atteindre mon sexe érigé à qui elle donna quelques coups de langue. Elle embrassa le gland puis continua sa descente vers mes couilles en suivant du bout de la langue la grosse veine bleue qui pulsait sous l’afflux de sang.
 
Quittant sa position à califourchon elle se plaça plus confortablement entre mes jambes et tout en empoignant enfin mon sexe elle goba une de mes couilles et la suça doucement. Dans le même temps sa main faisait connaissance avec mon sexe dont elle évaluait la taille et la fermeté comme je l’avais fait avec son sexe pour en apprécier la douceur et la moiteur.
 
Quand elle se redressa, je sus que mon sexe allait changer d’interlocuteur. D’embrassé il se retrouva gobé à son tour par une bouche experte. Je m’emparais de sa nuque et de ses cheveux au cas bien improbable où j’aurai dû la guider. Sa main avait remplacé sa bouche autour de mes couilles et elle allait et venait en un lent mouvement dans lequel j’avais l’impression d’être aspiré encore plus à chaque va et vient de ses lèvres et de sa langue. Elle avait en particulier parfaitement identifié le point le plus sensible chez moi qui se situe juste sous le gland à la jonction du frein. Peut être seules deux filles m’avaient à ce jour sucé aussi bien. Je sentais mon plaisir monter par vagues et Isabelle également car elle relâcha un peu la pression tout en continuant à me sucer doucement. Elle avait le désir de me faire durer…
 
Craignant malgré tout de ne pas résister à ses caresses, je relevais son visage. Elle planta son regard pailleté de vert et d’or dans le mien et, un peu haletante elle me souffla :
 
-         Je ne te laisserai pas jouir dans ma bouche, c’est ma seule limite
-         Il faut bien quelques règles, tout de même, lui répondis-je m’abstenant sans malice de lui demander quelles étaient les autres règles.
 
Isabelle n’était pas bien lourde entre mes bras et je la retournais sans mal pour la mettre sur le dos. Ce fut alors mon tour de me placer entre ses jambes et de sucer son sexe. Au risque de me répéter elle avait un sexe de jeune fille, peu ouvert, aux lèvres fines et de couleur rose tendre. Son clitoris était de la taille d’une perle et bien protégé dans son petit cocon de chair. Je le titillais d’abord légèrement puis de façon un peu plus appuyée déclenchant à mon tour chez ma partenaire les réactions qu’elle avait suscitées chez moi. J’alternais les moments forts et faibles mais j’avais le sentiment que même si elle appréciait mes caresses ce n’était pas ce qu’elle préférait.
 
Je la voulais cependant ruisselante et ne consentis à l’abandonner qu’une fois que son sexe eut été bien trempé.
 
Comme je relevais mon visage elle s’empara de ma tête et cette fois elle prit l’initiative du baiser. Il fut plus sexuel que le précédent nos deux bouches mêlant ainsi le goût de nos deux sexes. Nous avons roulé sur le lit et elle s’est à nouveau trouvée au-dessus de moi.
 
Pendant que nous nous embrassions Isabelle avait attrapé la boite de préservatifs qu’elle avait placée aux cotés du lit.
 
Je la sentais un peu fébrile, ne parvenant pas à trouver l’ouverture de l’emballage d’aluminium. Je pris donc les choses en main. Elle se recula un peu pour me permettre d’enfiler le préservatif. Lorsque ce fut fait, je l’empoignai par les hanches, la plaçai au-dessus de mon sexe dressé et d’une seule poussée la pénétrai jusqu’au fond lui arrachant un sursaut de surprise quand je cognai le fond de son intimité. A demi-dressé sur les coudes je menais la cadence tout en mordillant ses tétons. Mais comme la position étant assez fatigante, je l’abandonnais bien vite pour plaquer Isabelle contre moi, poitrine contre poitrine, me permettant ainsi de jouer avec ses fesses de mes deux mains libérées.
 
J’allais et venais lentement, non pas par crainte de l’éjaculation, j’étais trop tendu pour jouir vite je le savais, mais comme pour l’explorer à fond. Même si elle était placée au-dessus de moi c’était moi qui menais les débats en essayant le repousser chaque fois un peu plus les limites de la pénétration. La forme et la dimension de son sexe me faisaient de plus en plus penser à celui d’une adolescente qu’à celui d’une femme de trente ans. Il me contenait tout juste dans cette position et son étroitesse était un délice.
 

Au bout de quelques minutes je me détachai d’elle et glissai sous son ventre embrassant au passage son nombril et son sexe où se mélangeaient les odeurs de sexe et de latex. Je passai derrière elle et, ainsi en levrette, elle m’offrait une vue superbe sur ses fesses. Elle était totalement impudique et offerte. Isabelle avait la tête posée sur ses bras croisés, légèrement tournée vers moi, les yeux mi-clos.

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26 mai 2006 5 26 /05 /mai /2006 10:33
Je plaçai mon sexe contre le sien, m’enfonçai lentement en elle tout en caressant de mes doigts son petit clitoris. Elle ondulait doucement des hanches et des fesses et nous nous sommes sans mal synchronisés. Je sentais le désir monter doucement en moi et mon gland grossir au fur et à mesure. Bientôt il bloquerai un peu à l’entrée du vagin ce qui me procurerai une délicieuse sensation. J’abandonnais son clitoris pour me reporter sur ses fesses que j’empoignai à pleines mains, les pétrissant, donnant quelques petites claques dessus à chaque poussée. Elle me jetait de temps en temps un coup d’œil qu’elle accompagnait d’un sourire. Je devenais plus insidieux à chacune de mes caresses et très vite mes doigts vinrent fureter du côté de son anus totalement épilé que je j’agaçais d’un doigt légèrement humide.
 
Mes tremblements avaient cessé depuis longtemps et je me sentais maintenant parfaitement à l’aise. Je m’arrêtai un instant alors que mon sexe était quasiment sorti pour jouir du spectacle et de la sensation que j’aurai à pénétrer lentement dans cet antre chaud et étroit. Isabelle ouvrit les yeux, tourna un peu plus son visage vers moi et me dit :
-         Prends-moi par derrière, tu sais que j’aime ça
 
Je savais en effet que Isabelle était réputée sur certains forums de discussion consacrés aux escort-girls comme pratiquant assidûment la sodomie. Qu’elle la subisse était une chose, qu’elle la réclame en était une autre alors que nombre de mes conquêtes me jugeaient un peu trop volumineux pour ce genre de plaisir et n’y consentaient qu’après une longue préparation et jamais dans cette position dans laquelle je pouvais aller et venir à ma guise ne leur laissant que peu d’emprise sur la situation.
 
-         Tu es sure ?
-         Oui, ne t’en fais pas, répondit-elle ayant sûrement deviné le sens de mon interrogation, je préfère que ce soit l’homme qui domine.
 
Je ne me fis pas prier et sans faire plus de manières ni préparation je posais mon gland sur sa porte étroite. Isabelle changea alors légèrement de position pour placer son visage dans les coussins qui étaient devant elle, creuser le dos et relever un peu les fesses. Je poussai doucement mais fermement pour la faire céder l’anneau de chair. Elle eut un petit cri quand la partie la plus large du gland força le passage. J’arrêtai instantanément pour lui permettre de s’habituer à ma taille. Je sentis les muscles se contracter puis se relâcher m’incitant ainsi à continuer ma pénétration. Je repris donc mes lents va et viens qu’elle accompagnait de petits mouvements du bassin. Elle se masturbait en même temps et le spectacle de sa main jouant sur son clitoris dans le même temps m’excitait au plus haut point.
 
Voir une femme se caresser a toujours été pour moi une source infinie de plaisir et au bout de quelques minutes, l’action combinée de cet étroit fourreau et de la vue sur cette main s’agitant sur son sexe me firent jouir dans un long râle. Je fermai les yeux pour profiter le plus longtemps possible de cette sensation pendant que je sentais la main de Isabelle s’agiter plus rapidement sur son clitoris. Je l’entendis pousser un cri bref pendant que les répliques de ma jouissance m’arrachaient des sursauts brefs mais violents qui envoyaient cogner mon sexe au fond du cul de Isabelle.
 
Lorsque je fus calmé, je me retirai doucement, me laissai aller sur le dos et me débarrassai de mon partenaire de latex. Isabelle s’était tournée sur le côté et me caressai doucement le ventre et mon sexe encore bien dur. Je n’ai pas osé lui parler de son plaisir mais même s’il n’a pas été aussi intense que le mien je pense qu’elle en a pris sa part.
 
Nous avons fait une pause pour nous désaltérer et reprendre nos forces. Je trouvais tout à coup l’appartement surchauffé alors qu’au début de la soirée il me paraissait glacial.
 
Isabelle avait renfilé ses chaussures et la voir évoluer chez moi uniquement vêtue de ses escarpins et des ses bas était un spectacle que je ne suis pas près d’oublier.
 
Pendant que nous buvions un verre elle me montra ce qu’elle avait apporté dans son deuxième sac : une très étrange robe chinoise en vinyle rouge rescapée des achats qu’elle avait effectués aux Etats Unis avant le 11 septembre. Elle connaissait mes goûts pour les vêtements originaux et fétichistes et m’avait apporté cette robe à titre d’exemple.
 
J’ai eu à nouveau envie d’elle. Nous avons refait l’amour de façon plus classique, plus violemment aussi. Isabelle était couchée sur le dos, les fesses surélevées, posées sur des coussins. J’étais debout à côté du lit, j’avais collé ses jambes contre ma poitrine, ses chevilles sur mes épaules et je l’avais pilonnée assez intensément pour permettre à mon plaisir de venir vite.
 
Ma jouissance a malgré tout un peu tardé. Je ne me suis pas du tout préoccupé de Isabelle à ce moment là, elle s’accrochait comme elle pouvait, me laissant aller à me guise. Mon plaisir n’a pas eu la même saveur que lors de la première fois même si cette position est l’une de mes préférées quand je veux aller au fond d’un sexe qui m’est offert.
 
Pendant que Isabelle réquisitionnait la salle de bain je regardais l’heure. Il était près de deux heures du matin. Je commençais à penser à la somme qu’elle allait me demander car le moment que nous avions passé ensemble était bien loin du simple massage que nous avions évoqué.
 
J’avais vidé le distributeur de mon agence bancaire en attendant Isabelle mais je ne savais pas si cela était suffisant. Je commençais même à avoir de sérieux doutes quand elle vint me rejoindre sur le canapé.
 
-         Combien est-ce que je te dois ?
-         Alors, me dit-elle en m’adressant un petit sourire en coin, disons un massage et puis une heure supplémentaire. Ce qui fait …
 
Elle m’annonça une somme qui, malgré l’importance du montant, était inférieure à ce que j’avais retiré en début de soirée. Intérieurement je poussais un soupir de soulagement même si je donnais un violent coup de griffe dans ma caisse noire. Je réfléchissais pendant que je comptais l’argent que j’allais remettre à Isabelle : si elle avait voulu appliquer ses tarifs à la lettre elle m’aurait facturé près du double…
 
Avant que je la raccompagne à la station de taxi la plus proche en lui promettant de la rappeler bientôt, Isabelle empocha une enveloppe copieusement garnie – mon distributeur ne m’ayant délivré que des petites coupures – et me laissa la robe de vinyle rouge comme cadeau.
 
 
**
*
 
Nous nous sommes revus à plusieurs reprises mais plus pour faire l’amour. Je lui apportais mes quelques compétences en informatique et elle me servait de modèle pour des photos un peu coquines qui lui ont servi pour son site Internet. Echange de bons procédés.
 
Isabelle a depuis posé pour Christophe Mourthé et continue à ce jour sa carrière de Call Girl de luxe. Jusqu’à quand nul ne le sait. Mais je l’aurais connue des deux côtés du miroir et je ne sais quelle facette de son personnage m’est la plus chère. L'Isabelle du jour ou celle de la nuit ?
 
Elle m’a dit récemment avoir modifié sa méthode de massage, ce sera peut être l’occasion de renouer des relations disons plus, professionnelles…
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22 mai 2006 1 22 /05 /mai /2006 14:14

La suite de mes aventures avec Floyd et Tony...

A lire et commenter

Au plaisir

Orso

 

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22 mai 2006 1 22 /05 /mai /2006 14:09
FLOYD
DEUXIEME EPOQUE
 
 
 
Après notre première rencontre, je pensais ne pas revoir Floyd et Tony de sitôt, les événements allaient me donner tort. Deux semaines à peine après notre première rencontre, nous avons pris rendez-vous chez moi pour une soirée tous les trois.
 
Ma mission était uniquement de charger mes appareils photos pour rendre compte de la soirée mais j'avais pris l’initiative de préparer un repas pour trois, de mettre du champagne au frais pour Floyd et d'acheter du vin pour Tony et moi.
 
Floyd et Tony sont arrivés bien après l’heure prévue pour le rassemblement et je les attendais de pied ferme.
 
L’uniforme de Floyd se composait d’une jupe très courte en cuir noir, une sorte de corset en cuir curieusement placé à l’envers : les laçages dans le dos alors que sa poitrine était barrée d’une fermeture éclair assez peu seyante. Ses seins menus n’autorisait malheureusement le port de ce bustier de façon réglementaire. Elle avait chaussé des bottes lacées à petit talon. Un collant résille qui avait été déchiré à l’entrejambe de façon à laisser libre l'accès de son sexe complétait la tenue. J’admirais la bonne tenue de l’ensemble alors que Floyd s’installait dans mon vieux fauteuil club râpé.
 
Son maquillage, plus soutenu que lors de notre première rencontre, semblait avoir été volontairement accentué pour renforcer le côté aguicheur de la tenue.
 
Transformant mon salon en mess, j'avais servi l'apéritif et me dirigeais vers la cuisine pour y terminer les préparatifs du repas lorsque je sentis tout à coup la présence de Floyd derrière moi. Sa main se plaça automatiquement sur mon sexe qu'elle s’empressa de mettre au garde à vous sous ses caresses. Ma main droite se faufila à son tour sous la jupe de Floyd à la recherche de son sexe qu’aucune barrière ne protégeait. Je le trouvais déjà humide et, sous mes doigts, le clitoris me sembla déjà bien gonflé. Je caressais Floyd sans trop de douceur et sa réaction fut bien différente de celle de notre première rencontre. Elle n'était plus la femme froide qui s'offrait pour le plaisir de son homme mais une femme qui se laissait aller au plaisir. Elle sursautait et se cabrait sous mes caresses et m'offrait même quelques gémissements alors qu'elle avait été particulièrement discrète lors de notre première rencontre.
 
Je lui en fis la remarque et elle reconnut, son accent anglais toujours aussi présent, qu'elle était plus à l'aise dans cette situation.
 
Je ne savais pas trop comment continuer et, ne voulant pas prendre l'initiative, je proposais à Floyd et Tony de passer à table.
 
Nous nous sommes installés autour du poulet à la crème qui allait constituer notre ordinaire. Floyd occupait le bout de la table, Tony et moi nous partagions les côtés. Nous avons mangé tranquillement en discutant de littérature, d'érotisme, de choses et d'autres.
 
Comme je demandais à Tony s'il avait lu les textes que je lui avais confiés lors de notre première rencontre, Floyd poussa un cri de terreur en rougissant violemment. Nous tournant vers elle, nous l'interrogeames du regard.
 
- Mon sac
 
- Et bien quoi, votre sac, lui répondit Tony sur le ton doux mais ferme qu'il emploie volontiers avec elle
 
- Je l'ai oublié au bar du restaurant où nous avons vu l’avocat
 
- Au bar? Etes - vous sure de ne pas l'avoir laissé dans la voiture, demandais-je à mon tour.
 
- Non, non, j'en suis sure, je ne l'avais pas dans la voiture.
 
Comme Tony ne disait rien, je m'inquiétais du désagrément dû à cet oubli. C'est la fautive elle-même qui me répondit :
 
- Vos textes sont dedans mais il y a aussi les photos..... Ils ne sont pas au courant....
 
- Et des papiers importants, renchérit Tony, qu'il me faut absolument récupérer.
 
Malgré l'heure un peu tardive, je conseillais à Tony de téléphoner pour que l'on mette le sac de coté, quitte à aller le chercher à la fin du repas si les papiers qu’il contenait lui étaient indispensables.
 
Tony obtint rapidement la personne qu'il souhaitait joindre et, en quelques phrases s'assura que le sac n'avait pas été ouvert et qu'il pourrait le récupérer le lendemain à la première heure. Ils n'étaient plus obligés de me quitter précipitamment, ce qui promettait une fin de soirée intéressante.
 
Tony menaça Floyd de la mettre au cachot dès leur retour au donjon et lui dit qu'au fond elle aurait bien mérité que ces gens-là apprennent qui elle était vraiment.
 
L'incident fut enterré avec quelques verres de vin pour nous et quelques coupes de champagne pour Floyd.
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22 mai 2006 1 22 /05 /mai /2006 14:08
Au dessert, je demandais à Tony s'il avait prévu quelque chose de particulier pour la suite de la soirée ou si nous en tenions à ce que nous avions décidé à l'origine, c'est à dire une séance de photo pour profiter des grands miroirs de ma chambre.
 
Tony ne répondit pas directement à ma question mais, le voyant se lever, il commença à fouiller des yeux les étagères de l'appartement et je sentis qu'une idée venait de lui traverser l'esprit. Je compris à son regard qu'il cherchait un objet phallique pour en user avec Floyd. N’ayant rien vu a sa convenance, il me suivit dans la cuisine l'oeil aux aguets et avisa soudain le mortier en marbre et son pilon. Il s’empara du pilon, me faisant remarquer que ma cuisine abritait des instruments forts curieux.
 
Je le ramenais alors dans la pièce où nous avions dîné pour lui montrer un vestige de la grande guerre qu’il n’avait pas vu. Cet objet, hérité de je ne sais où, me servait de serre-livres et me semblait convenir à merveille aux desseins de Tony. Il s'agissait d'un splendide obus antichar, à en croire un spécialiste, désamorcé certes mais toujours impressionnant. Il était, et est toujours de la taille d'une grosse verge, bien plus épais en fait et surtout d'une belle droiture dans son habillage de cuivre et de métal sombre. Sans l'avoir jamais mesuré, je pense que son diamètre est de l'ordre de sept ou huit centimètres et sa longueur d'une vingtaine de centimètres. Une belle pièce, à n'en pas douter.
 
Tony intima à Floyd l'ordre de rejoindre ma chambre et il la plaça dos aux miroirs qui font la particularité de la pièce dans laquelle je dors. Brutalement, il la courba et commença à fouiller le sexe de Floyd du pilon de marbre. C'était de genre d'assaut auquel elle pouvait répondre sans mal si elle avait conservé l'humidité qu'elle manifestait quelques minutes plus tôt. Je voyais le sexe de marbre court et gris s'enfoncer dans la toison de Floyd qui subissait l'outrage sans trop manifester selon son habitude.
 
Je m'emparais alors de l'obus et, l'ayant préalablement recouvert d'un préservatif, le présentait à mon tour devant l'intimité de Floyd. Tony enleva le pilon de marbre tout luisant des émotions de Floyd pour me céder la place. Le traitement précédent et le lubrifiant qui garnissait le préservatif firent que je crus un instant que le sexe de Floyd avait carrément aspiré l'objet tant l'obus avait pénétré aisément au fond de notre belle soumise.
 
Je remarquais alors les marques roses qui décoraient les fesses de Floyd et Tony me confirma alors qu'elle avait été punie récemment à la cravache mais qu'elle préférait ce type de punition à toute autre corvée. Ce qu'elle semblait aimer également, c'était la façon dont l'obus pénétrait en elle.
 
J'abandonnais mon poste pour aller m'emparer de mes appareils photo, un chargé de noir et blanc, l'autre en négatif couleur. Je m'approchais à nouveau du lit pour observer le champ de bataille et voir comment les choses avaient progressé durant mon bref repli.
 
Je trouvais les opérations bien engagées avec, en pointe, le bel obus qui perforait toujours l'avant de Floyd et en soutien, sur l'arrière, l'outil de marbre qui, manié savamment par Tony, s'enfonçait dans la tranchée des fesses et pilonnait le cul rosi de notre belle soumise.
 
Floyd, en brave petit soldat subissait sans faiblir les assauts des deux instruments malgré les grimaces qui trahissant sa douleur lorsque l'un ou l'autre des deux godes improvisés la faisaient souffrir. Je trouvais qu'elle méritait une décoration pour ces actes de haute bravoure et j'attrapais, dans le coffre qui borde mon lit, une chaîne munie de petites pinces qui complétait à ravir l'uniforme de la parfaite soumise qu'elle était.
 
Je fis glisser le zip du bustier de cuir et plaçais sur sa poitrine la décoration si valeureusement gagnée. Je pinçais assurément un peu fort les tétons, ce qui tira à Floyd un petit cri de douleur et lui fit serrer les dents. Manifestement elle ne supportait pas bien cette douleur là, trop précise et concentrée et je transformais la décoration en fourragère que j'accrochais de part et d'autre du bustier.
 
Comme j'étais toujours devant Floyd, Tony lui ordonna de me libérer de mon uniforme et de me remettre au garde à vous.
 
Sans lâcher mon appareil, je me retrouvais donc rapidement déboutonné par Floyd qui exécutait les ordres avec diligence. Ce ne semblait pas être une corvée, bien au contraire et sa bouche n'eut pas de grands efforts à faire pour que je lui présente mes hommages les plus virils.
 
J'étais pourtant déterminé à ne pas me rendre et lui en fis part :
 
- Floyd, lui dis-je, malgré votre vaillance à l'ouvrage et votre courage, je ne vous céderai pas. Pompez, sucez tant qu'il vous plaira, vous ne m'aurez pas.
 
Je la laissais s'escrimer sur la hampe de mon sexe alors que, sans que j'y prenne garde, Tony s'était engagé dans une manoeuvre de diversion somme toute classique mais qui faisait toujours effet : une belle pénétration de l’avant soutenue par un pilonnage, et le mot est juste, de l’arrière.
 
Aux mouvements de Floyd et à la façon dont sa tête venait heurter mon ventre, je savais que Tony venait de mettre toutes ses forces dans la bataille et que l'issue était proche. Il était donc venu pour moi de reprendre mon rôle d'observateur et de fixer sur la pellicule l'assaut final.
 
Jouant au mieux de ma position stratégique, je mitraillais à tout va de toute la puissance de mon flash. J'immortalisais les pénétrations de Tony et la résistance de Floyd aux assauts furieux auxquels elle était soumise.
 
Voyant la fin proche, Tony utilisa la chaîne pour la placer dans la bouche de Floyd, la transformant ainsi en bête de Somme. Assurément, il avait du connaître la cavalerie chère à nos ancêtres et dans le rôle de la belle pouliche docile il avait trouvé en Floyd la partenaire idéale.
 
Ce fut pourtant Tony qui céda le premier et se laissant aller au fond de sa partenaire, il l'abandonna rapidement un plastron blanc entre ses fesses malmenées.
 
Je terminais ma correspondance par quelques vues générales du champ de bataille et par les traces laissées par le corps à corps final qui avait clôturé l'échange amorcé par l'artillerie. Je mis un soin particulier à soigner les vues de la tranchée fessière de Floyd qui avait été passablement malmenée.
 
A y regarder de plus près, la tactique employée pour mettre Floyd au pas avait été fort simple mais diablement efficace et je me demandais bien quels stratèges avaient inspiré Tony en cette soirée.
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17 mai 2006 3 17 /05 /mai /2006 13:14

Vous constaterez dans ce récit que les aventures étonnantes n'arrivent pas qu'aux autres...

Celle ci marque le début de quelques soirées étonnantes dont vous lirez bientôt les comptes rendus.

J'en illustrerai peut être certaines avec les photos associées pour que vous vous fassiez une idée des personnages....

Vos remarques sont les bienvenues.

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